L'idéologie politique byzantine considère en effet que tout territoire et peuple est destiné à devenir, à terme, une partie intégrante de l'Empire et de l'Église orthodoxe[3],[4],[5].
↑Venance Grumel, « Les aspects généraux de la théologie byzantine », Revue des études byzantines, vol. 30, no 164, , p. 385–396 (DOI10.3406/rebyz.1931.2691, lire en ligne, consulté le )
↑Vassa Kontouma, « « Basileia, politeia, ekklèsia : le modèle byzantin », dans B. Feuillet-Liger, Ph. Portier (dirs), Droit, éthique et religion : de l’âge théologique à l’âge bioéthique (Droit et religion 3), Bruxelles 2012, p. 99-112. », EPHE, (lire en ligne, consulté le )